🎁 10% remise Sur la 1º Commande! ⏩ CLIQUEZ ICI!

Les élongations musculaires du dos

Les élongations musculaires lombaires ou lombalgies sont des affections qui apparaissent fréquemment chez des patients d'âges différents, bien qu'il soit récurrent que les personnes plus âgées soient plus sujettes aux lésions musculaires. Le bas du dos est affecté par une douleur intense, un manque de mobilité et une inflammation. Mais si vous voulez en savoir plus sur ce claquage, lisez la suite.

Nous vous montrerons les raisons pour lesquelles cette maladie apparaît et nous vous indiquerons en détail quels sont les traitements qui vous aideront à réduire les symptômes de ces entorses lombaires. Enfin, nous vous donnerons les meilleurs conseils pour éviter cette affection.

Qu'est-ce qu'un claquage du dos et des muscles lombaires ?

La douleur lombaire aiguë est causée par la tension involontaire et continue subie par la structure musculaire située dans le bas du dos. Elle est due à l'incapacité du sang à échanger de l'oxygène et des nutriments avec les fibres musculaires, ce qui provoque une accumulation excessive de métabolites.

Ces molécules, accompagnées de déchets, se logent dans les tissus mous et provoquent une raideur anormale des muscles grand oblique, latissimus dorsi et psoas iliaque. Dans certains cas, les symptômes peuvent s'étendre à la région des fessiers et des ischio-jambiers, entraînant un gonflement, une perte de mouvement, des paresthésies et, bien sûr, des douleurs.

Quelles sont les causes des claquages musculaires dans le bas du dos ?

Il existe différentes raisons ou causes de claquages musculaires dans le bas du dos. C'est pourquoi nous vous présentons ci-dessous chacune d'entre elles

  • Manque de repos : Des activités exigeantes et une mauvaise nuit de repos peuvent entraîner des tensions musculaires dans le dos. Les muscles se contractent alors involontairement, ce qui entraîne la formation de métabolites dans la zone concernée.
  • L'âge : Bien que tout le monde soit exposé au risque de contractures musculaires dans le bas du dos, l'âge avancé des patients constitue un facteur de risque majeur. Cela est dû au manque de flexibilité que les muscles perdent avec le temps.
  • Altérations de la colonne vertébrale : Tout type de malformation ou de déformation des vertèbres lombaires peut provoquer des lombalgies en raison de la tension permanente exercée sur les muscles.
  • Faibles niveaux de potassium et de sodium : Les nutriments tels que le magnésium, le calcium et les vitamines sont essentiels au maintien de la rigidité naturelle du dos. L'absence de ces composants entraîne une faiblesse musculaire et donc une contracture.
  • Le manque de mouvement quotidien : Les personnes sédentaires ou qui passent beaucoup de temps assises sont plus sujettes aux lésions lombaires. En effet, la structure musculaire n'est pas habituée à effectuer des mouvements normaux.
  • Infections et tumeurs : Bien que ces causes ne soient pas très fréquentes, il est possible de trouver des personnes souffrant de différents types d'infections et de tumeurs qui provoquent l'apparition de tensions dans le bas du dos.
  • Manque d'étirements et d'exercices pré-compétitifs : Les personnes qui effectuent des tâches mécaniques exigeantes ou les sportifs doivent habituer leurs muscles à des exercices graduels qui leur permettent d'acquérir progressivement une élasticité suffisante. En outre, un manque d'élasticité peut également entraîner des tensions dans le dos.
  • Tensions dorsales dues au stress : Les soucis quotidiens, les angoisses et les frustrations peuvent entraîner une contraction involontaire des muscles situés dans le bas du dos. Le moindre effort dans cette zone entraîne alors une tension sur les tissus mous.
  • Températures froides : Le corps réagit inconsciemment au froid en contractant la structure musculaire du dos. Ces mouvements involontaires peuvent provoquer des lésions des fibres musculaires.
  • Tâches exigeantes : Les activités qui exigent un effort excessif du dos sont des facteurs de risque qui peuvent augmenter la probabilité de lésions lombaires.
  • Manque d'hydratation : Le manque d'eau dans le corps peut entraîner une tension incorrecte des fibres musculaires, provoquant ainsi un claquage du dos.
  • Obésité : Le surpoids oblige les muscles du bas du dos à se tendre en permanence. Cela entraîne une fatigue des tissus, de sorte que les molécules de déchets ne sont pas éliminées normalement par le sang.

Meilleurs produits pour les tensions dorsales

Meilleures ventes

Principaux symptômes associés aux claquages musculaires du dos

Principaux symptômes associés aux élongations musculaires du dos

La lombalgie ou le lumbago peut présenter tout ou partie des symptômes suivants :

  • Douleur focalisée : C'est le symptôme le plus courant et le plus fréquent qui apparaît dans tous les cas de ce type de lésion. Elle peut être constante ou survenir lorsque le patient souhaite effectuer un mouvement.
  • Manque partiel ou total de mobilité : Les mouvements sont réduits lorsqu'il y a des tensions musculaires dans la région lombaire. Cela est dû à la pression constante exercée sur les racines nerveuses situées dans cette zone, qui génèrent une douleur plus importante lorsque la musculature est déplacée.
  • Inflammation : Les contractures apparaissent en grande partie à cause d'un manque d'irrigation correcte des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une inflammation de la zone en raison de la grande quantité de molécules toxiques présentes dans les fibres.
  • Apparition de bosses : Lors d'une contraction involontaire du muscle, celui-ci se rétracte, provoquant un nodule assez facilement visible.
  • Picotements : Les sensations d'engourdissement et de picotement sont fréquentes dans ce type de lésions causées par le mauvais fonctionnement du système nerveux situé dans cette zone et par l'absence d'une bonne circulation sanguine.
  • Difficulté à effectuer les gestes de la vie quotidienne : Il est fréquent de rencontrer des patients qui ne peuvent pas soulever d'objets, se pencher, marcher avec fluidité ou se lever du lit. Cela est dû à la tension des muscles du bas du dos.

Comment soulager la douleur et améliorer les symptômes des tensions musculaires dans le bas du dos ?

Les symptômes qui apparaissent au niveau des muscles latissimus dorsi, oblique, rhomboïde, rond et épineux peuvent être traités par différentes thérapies, que nous vous présentons dans les paragraphes suivants.

Thérapies alternatives et complémentaires

Vous trouverez ci-dessous les différents types de traitements auxiliaires et complémentaires qui contribuent à réduire les symptômes des spasmes du dos :

  • Thérapie par le chaud et le froid : Cette technique consiste à appliquer des objets chauds, puis froids, puis chauds. La séance ne doit pas durer plus de 20 minutes. Il faut tenir compte du fait que pour obtenir les bienfaits du froid, il est nécessaire que la température ne soit pas glaciale, ce qui nuirait au traitement car les muscles se contracteraient beaucoup plus. C'est pourquoi il est nécessaire de consulter un médecin pour que ce traitement soit appliqué correctement. Différentes techniques sont utilisées pour ce traitement, par exemple les compresses, les poches d'eau, les couvertures électriques et les gels.
  • La thérapie par compression : L'objectif de ce traitement est de dilater les vaisseaux capillaires, sans briser leurs parois, afin que le sang puisse circuler correctement dans la zone affectée. Les métabolites sont ainsi échangés avec les fibres qui contiennent des résidus, ce qui permet de réduire l'inflammation et la douleur. Des supports de compression spéciaux adaptés au bas du dos du patient sont généralement utilisés et, dans certains cas, cette thérapie est combinée à un repos complet pour en augmenter les bénéfices.
  • La massothérapie : Il s'agit de l'une des thérapies les plus couramment utilisées pour le spasme dorsal. Elle consiste à frotter, presser et tapoter la zone affectée au moyen de différentes techniques qui génèrent de la chaleur dans la structure musculaire. Cela permet de détendre le patient et les muscles rhomboïdes, grand oblique et dorsal afin qu'ils retrouvent leur tension normale, ce qui provoque une sensation de bien-être chez le patient. Elle favorise également l'échange de gaz et de liquides entre le sang et les tissus mous.
  • Thérapie par acupression : Il est possible d'appliquer cette médecine chinoise au moyen de massages spécifiques sur des points particuliers du corps, en utilisant le bout des doigts et la paume des mains du praticien. L'objectif de cette technique est de permettre au patient de trouver un équilibre mental afin de réduire le stress et de permettre une relaxation totale de la musculature, en particulier dans la zone affectée.
  • La thermothérapie : Les avantages de la chaleur pour ce type de blessure sont multiples, le plus important étant son efficacité à réduire l'inflammation et la douleur. Ce résultat est obtenu grâce à la jonction des artérioles et des petites veines, ce qui entraîne une dilatation des vaisseaux sanguins et une meilleure irrigation du sang. Il est ainsi possible d'échanger des nutriments avec la musculature.
  • Remèdes naturels à base de plantes : Il existe différents types de plantes aux vertus anti-inflammatoires et relaxantes. C'est pourquoi des bains localisés ou des tisanes sont utilisés dans cette technique pour aider à réduire les symptômes. Il est nécessaire de consulter un médecin avant d'opter pour ce traitement complémentaire, car tout produit naturel peut causer de graves dommages à l'estomac et aux reins si les effets secondaires ne sont pas pris en compte. Les plantes les plus courantes sont le romarin, le saule, le gingembre, la menthe poivrée, la lavande, la camomille, le tilleul et les agrumes.
  • Des habitudes de vie saines : Les thérapies utilisées pour traiter les crampes dorsales ne seront d'aucune utilité si le patient n'est pas conscient de l'importance des gestes quotidiens qu'il doit accomplir. Cela signifie que le médecin doit rééduquer le patient pour que non seulement la distension musculaire actuelle soit réduite, mais aussi pour que ces tensions n'apparaissent plus à l'avenir. Pour ce faire, il est nécessaire d'expliquer la nécessité de maintenir une posture correcte, de faire de l'exercice, de manger sainement et de protéger le dos lorsqu'il doit être sollicité.

Compléments nutritionnels

L'inclusion de ce type d'éléments dans l'alimentation du patient doit faire l'objet d'une consultation préalable avec le médecin traitant. Cela évitera l'apparition de complications futures dues aux effets secondaires que peuvent avoir les sirops, poudres, liquides ou comprimés des compléments alimentaires.

L'objectif de ce type de traitement est d'incorporer des nutriments dans l'organisme du patient afin de stimuler un échange correct d'oxygène et de liquide entre le sang et les muscles situés dans la région lombaire du dos. Il s'agit généralement de magnésium, de potassium, de vitamines B, d'oméga 3, de sodium et de calcium.

Traitements de physiothérapie

Ce traitement vise à augmenter la flexibilité des muscles psoas iliaque, piriforme et quadratus lumborum. D'autre part, il vise une flexion correcte des muscles latissimus dorsi, rhomboïde, épineux, rond et oblique.

Pour ce faire, elle s'appuie sur différentes techniques qui provoquent de la chaleur dans cette structure musculaire. Parmi les critères les plus courants utilisés par les physiothérapeutes figurent les exercices d'étirement, les mouvements répétitifs et brefs, l'électrothérapie, les ultrasons, l'hydrothérapie et les traitements laser localisés. Il est nécessaire de garder à l'esprit que ce type de thérapie doit être effectué par des professionnels, faute de quoi les lésions pourraient s'étendre et causer des dommages irréversibles aux muscles.

Les médicaments

La chose la plus importante à garder à l'esprit dans ce type de traitement est que l'automédication n'est jamais bénéfique, car elle peut provoquer des hémorragies internes, des malaises intestinaux et des lésions hépatiques en raison des effets secondaires des médicaments pris.

C'est pourquoi la thérapie médicamenteuse doit être prescrite et suivie par un médecin afin d'éviter toute complication future. Dans ce type de traitement, on trouve des analgésiques opioïdes, des anti-inflammatoires non stéroïdiens et des relaxants musculaires. Chez les patients dont la lombalgie est causée par des crises d'épilepsie, les médicaments utilisés sont la prégabiline et la lamotrigine en tant qu'anticonvulsivants.

Quelles sont les méthodes de prévention les plus efficaces contre les déchirures musculaires du dos ?

Quelles sont les méthodes de prévention les plus efficaces contre les déchirures musculaires du dos ?

Si vous ne voulez pas ressembler à un claquage des muscles lombaires, vous devez tenir compte de ces conseils :

  • Réduire le stress : Les soucis et les frustrations produisent inconsciemment des tensions musculaires dans tout le corps, en particulier dans le dos. C'est pourquoi il est conseillé de pratiquer des méthodes de relaxation et des techniques de respiration pour réduire l'anxiété.
  • Ne refroidissez pas votre dos : Si vous restez trop longtemps dans un endroit froid sans trop bouger, vous risquez de blesser la structure musculaire de votre dos et de provoquer des tensions. Il faut donc éviter d'avoir froid et, si pour une raison ou une autre, vous devez être exposé à des températures glaciales, vous devez veiller à vous envelopper correctement.
  • S'échauffer avant de commencer une activité: Avant de commencer une activité, il est important de préparer vos muscles afin qu'ils ne commencent pas par des mouvements brusques. Cela facilitera la circulation du sang.
  • Étirer tous les muscles du dos : Les étirements sont un aspect important dont vous devez tenir compte lorsque vous terminez des activités physiques ou des travaux qui sollicitent le bas du dos. Il existe différentes techniques, mais la plus courante consiste à s'allonger sur le dos et à amener les genoux vers les pectoraux, puis à tourner le corps et à soulever doucement le haut du torse.
  • Évitez les activités trop exigeantes : N'oubliez pas que le surmenage survient lorsque vous devez répéter des mouvements constamment et pendant de longues périodes ou soulever des objets lourds sans protection adéquate. Ces types d'actions doivent être évités afin de maintenir votre structure musculaire en bon état.
  • Reposez-vous le temps nécessaire : Si vous êtes sportif ou si vous travaillez dans des endroits où vous devez solliciter votre dos au maximum, pensez à protéger le bas de votre dos et à vous reposer de temps en temps afin que vos muscles puissent se reposer et retrouver une tension normale.
  • Évitez la sédentarité et mangez sainement : Le manque d'exercice et une mauvaise alimentation sont des causes importantes de spasmes lombaires. C'est pourquoi il est conseillé de se promener ou de pratiquer toute autre activité physique et de choisir des aliments plus riches en vitamines et en protéines, en évitant les graisses. Cela doit s'accompagner d'une bonne hydratation.
  • Incorporez dans votre alimentation des aliments contenant du magnésium et du potassium : Il est également important que le sodium, le calcium et les vitamines D, E, B1 et B3 soient présents dans les aliments que vous consommez.

Références

  1. Alexander, M. J. (1985). Biomechanical aspects of lumbar spine injuries in athletes : a review. Canadian journal of applied sport sciences. Journal canadien des sciences appliquées au sport, 10(1), 1-20. https://europepmc.org/article/med/4006039
  2. Bono, C. M. (2004). Low-back pain in athletes. JBJS, 86(2), 382-396. https://journals.lww.com/jbjsjournal/Abstract/2004/02000/Low_Back_Pain_in_Athletes.27.aspx
  3. Cohen, S. P., Argoff, C. E. et Carragee, E. J. (2008). Management of low back pain. Bmj, 337. https://www.bmj.com/content/337/bmj.a2718.full.pdf+html
  4. Koes, B. W., Van Tulder, M., & Thomas, S. (2006). Diagnostic et traitement de la lombalgie. Bmj, 332(7555), 1430-1434. https://www.bmj.com/content/332/7555/1430.short
  5. Krismer, M. et Van Tulder, M. (2007). Lombalgie (non spécifique). Best practice & research clinical rheumatology, 21(1), 77-91. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1521694206001082
  6. Glick, J. M. (1980). Muscle strains : prevention and treatment. The Physician and sportsmedicine, 8(11), 73-77. https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/00913847.1980.11710969
  7. Garrett Jr, W. E. (1996). Muscle strain injuries. The American journal of sports medicine, 24(6_suppl), S2-S8. https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/036354659602406S02
  8. Orchard, J., Best, T. M., & Verrall, G. M. (2005). Return to play following muscle strains. Clinical Journal of Sport Medicine, 15(6), 436-441. https://journals.lww.com/cjsportsmed/Abstract/2005/11000/Return_to_Play_Following_Muscle_Strains.8.aspx
  9. Garrett Jr, W. E. (1990). Muscle strain injuries : clinical and basic aspects. Medicine and science in sports and exercise, 22(4), 436-443. https://europepmc.org/article/med/2205779
  10. Järvinen, T. A., Kääriäinen, M., Järvinen, M. et Kalimo, H. (2000). Muscle strain injuries. Current opinion in rheumatology, 12(2), 155-161. https://journals.lww.com/co-rheumatology/Abstract/2000/03000/Muscle_strain_injuries.10.aspx
Article ajouté au panier
0 Produit - 0,00