- Définition : Qu'est-ce qu'un claquage ?
- Quels sont les types de claquages musculaires les plus courants dont nous pouvons souffrir dans notre corps ?
- Les meilleurs produits pour les souches
- Quelles sont les causes de la tension musculaire ?
- Quelles sont les zones les plus courantes où apparaît une déchirure musculaire ?
- Quels sont les traitements et les méthodes de prévention disponibles pour améliorer les symptômes des élongations ?
- Comment éliminer ou soulager la douleur due à une élongation musculaire ?
- F.A.Q : Questions fréquemment posées
Le stress, le surmenage et un mode de vie sédentaire peuvent entraîner des claquages musculaires qui provoquent des douleurs, des inflammations et même des raideurs. C'est pourquoi il est nécessaire de savoir ce que sont les claquages musculaires et quels sont les types les plus courants. Vous trouverez ces informations dans les paragraphes suivants.
Mais ce n'est pas tout, nous parlerons également des causes des claquages musculaires et des zones les plus courantes dans lesquelles un claquage peut apparaître. Ne manquez rien car vous pourrez lire les questions fréquemment posées sur cette affection.
Définition : Qu'est-ce qu'un claquage ?
Un claquage musculaire est une tension involontaire subie par les tissus mous, provoquant douleur, inflammation et raideur dans les mouvements. Ces claquages sont dus à l'effort important fourni par la structure musculaire pour réaliser une action donnée. La lésion peut se produire pendant ou après l'effort, bien qu'il soit également possible de trouver des patients qui souffrent de claquages musculaires en raison des effets résiduels laissés dans l'organisme.
La raison principale de ce type de claquage repose sur l'incapacité de la circulation sanguine à éliminer les substances inactives lors des mouvements, c'est-à-dire les métabolites. Ces molécules, qu'elles appartiennent à l'une ou l'autre des voies métaboliques, restent dans l'organisme et provoquent une tension constante dans le muscle. En fonction de leur localisation, des symptômes tels que faiblesse musculaire, maux de tête, vertiges, engourdissement des membres, fatigue et même somnolence sontpossibles.
Quels sont les types de claquages musculaires les plus courants dont nous pouvons souffrir dans notre corps ?
Pour éliminer les claquages musculaires, il est essentiel de savoir, tout d'abord, de quel type ils sont. La classification la plus courante est celle de l'origine ou de la cause, qui est le point le plus important à prendre en compte. Ainsi, nous avons :
Les claquages post-traumatiques ou défensifs
Elles surviennent après avoir subi un impact. Le cerveau agit par une réponse directe basée sur la protection des structures les plus sensibles en utilisant le muscle comme bouclier. Elles sont intenses, mais disparaissent sans aide médicale en deux ou trois jours au maximum.
Les claquages posturaux
Elles sont dues à une mauvaise posture du corps, qui nécessite un certain temps de maintien d'une mauvaise hygiène posturale. La douleur est généralement légère ou légère-modérée, sauf si d'autres muscles sont associés, en raison de leur proximité et de leur union avec la zone touchée.
Entorses dues à l'hypotonie
La faiblesse du muscle provoque un spasme lorsque nous lui demandons de se contracter au-delà de sa capacité. Il n'est pas nécessaire qu'il soit trop fort ; le problème est causé par l'état du muscle.
Les claquages dus à la déshydratation
L'accumulation de toxines, généralement due à une formation importante et à une excrétion minimale ou inexistante, provoque des épisodes de raideur musculaire, avec une douleur modérée en réponse au mouvement et beaucoup de tension dans les tissus mous.
Syndrome occluso-postural
Il est intéressant de noter que la tension musculaire est également un symptôme de ce tableau clinique. Elle est due à une modification de la position des dents et de l'articulation temporo-mandibulaire, ainsi que du tonus musculaire des muscles masticateurs. Cela est dû à un mauvais alignement des dents qui influe sur le reste.
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Quelles sont les causes de la tension musculaire ?
La première chose à savoir est comment se forme un claquage. Après un effort musculaire, les déchets métaboliques s'accumulent dans les fibres des tissus et doivent être éliminés par la circulation sanguine. Mais comme le flux sanguin est incapable d'effectuer cette action, les molécules restent dans le muscle, augmentant ainsi leur quantité dans la zone.
Cela provoque une irritation des nerfs, d'où une douleur localisée et irradiante, et une augmentation du tonus musculaire, d'où un raidissement et une tension du muscle.
Après avoir expliqué comment se forment les tensions musculaires, nous pouvons évoquer les principales causes de l'élongation :
- Le surmenage : Le surmenage provoque une fatigue musculaire. Celle-ci s'accroît si les efforts sont répétés sans laisser de temps de récupération.
- Faiblesse musculaire : Malgré l'exécution d'une tâche simple, le muscle n'est pas en mesure de l'accomplir car il manque de force.
- Sédentarité : C'est la principale raison de la faiblesse musculaire, due à un manque d'activité qui fait travailler les tissus.
- Postures inadéquates : Les postures non naturelles maintenues pendant longtemps entraînent un surmenage du muscle, même lorsqu'elles ne nécessitent pas d'effort évident.
- Etirements inadéquats : lorsque nous nous étirons trop brusquement, le muscle agit en se contractant pour se défendre et éviter de se rompre.
- Températures basses : les contractions défensives pour maintenir la chaleur du corps, lorsqu'elles sont soutenues, entraînent des raideurs.
- Déshydratation : L'accumulation de toxines dans notre corps entraîne un dysfonctionnement de l'organisme.
- Mauvaise alimentation : Une consommation excessive de mauvais aliments, tels que les graisses saturées, a le même effet que la déshydratation.
- Alimentation insuffisante : Si nous mangeons trop peu, notre corps commencera à consommer des muscles pour produire de l'énergie, ce qui l'affaiblira.
- Processus émotionnels : Diverses situations émotionnelles entraînent la libération de substances chimiques qui mettent les muscles en alerte. Les plus courantes sont l'anxiété et le stress.
- L'âge avancé : Les personnes âgées perdent de l'élasticité et sont plus sujettes à ce type de blessure.
Quelles sont les zones les plus courantes où apparaît une déchirure musculaire ?
Vous pouvez probablement répondre à cette question vous-même en vous basant sur vos expériences. Les zones les plus fréquentes sont le dos et le bas du dos, les trapèzes, les épaules et le cou.
- Cou ou cervicales : elles apparaissent en réponse à un traumatisme mais aussi lors de l'adoption de mauvaises postures, notamment pendant le sommeil. Il est particulièrement important de traiter ce problème en raison de la sensibilité de la zone et des conséquences si la raideur s'étend.
- Trapèze : Les principales raisons de la raideur de ce muscle sont une mauvaise hygiène posturale (avachissement) et le stress. La douleur elle-même favorise cette posture inadéquate et protectrice et empêche un afflux sanguin suffisant, ce qui fait que la zone est de moins en moins oxygénée et que ses cellules ne peuvent pas travailler correctement, créant ainsi un cercle vicieux.
- Les épaules : Dans ce cas, il y a deux raisons principales : le surmenage dû à une mauvaise posture (lorsqu'il s'agit d'atteindre des objets hauts ou très éloignés) et le stress.
- Dos et dorsales : Les causes sont très variées dans ce cas (mauvaises performances sportives, gestes brusques, mauvaise hygiène posturale, lésions articulaires, tensions émotionnelles...).
- Taille ou bas du dos : Cela se produit lorsqu'un muscle lombaire est déchiré, à la suite d'un effort excessif (comme soulever un objet lourd de manière inappropriée) ou d'une chute, ou encore s'il reste en extension excessive.
- Dans le muscle pectoral : Il est possible de provoquer une élongation du grand ou du petit pectoral entraînant une limitation des mouvements du bras et de l'épaule, ainsi qu'une douleur générée par le plexus brachial. Cela peut se produire en raison de l'effort produit par des muscles sédentaires ou de l'excès de force causé par le fait de soulever des objets lourds.
- Dans les jambes et les mollets : Il est courant de trouver ce type de blessure chez les athlètes ou les travailleurs qui sollicitent leurs membres inférieurs, mais cela ne signifie pas que n'importe qui peut souffrir de cette déchirure musculaire. Dans ce cas, les muscles gastrocnémiens, soléaires, quadriceps et ischio-jambiers peuvent être affectés par un excès de métabolites.
- Dans la région abdominale : Les muscles concernés par ces tractions sont le muscle transverse de l'abdomen, les muscles obliques internes et externes et le muscle droit de l'abdomen, qui accumulent des molécules nocives qui ne peuvent pas être éliminées par le sang, ce qui provoque une grande rigidité dans la zone concernée et, dans certains cas, des spasmes involontaires.
- Au niveau des fesses : Le grand fessier, le moyen fessier et le piriforme peuvent souffrir de lésions d'étirement qui provoquent des gonflements et des douleurs, rendant difficile la marche ou le soulèvement du genou. Ces élongations peuvent être causées par un manque d'échauffement avant une activité ou par un manque d'exercice du muscle.
Quels sont les traitements et les méthodes de prévention disponibles pour améliorer les symptômes des élongations ?
Nous vous présentons ci-dessous les différents traitements qui peuvent être utilisés pour améliorer les symptômes des claquages musculaires. N'oubliez pas que l'application de ces thérapies doit être guidée par votre médecin.
Thérapies alternatives et complémentaires
Les traitements complémentaires sont des techniques médicales auxiliaires qui aident la maladie à entrer en rémission le plus rapidement possible. Ils contribuent également à réduire la douleur et l'inflammation, améliorant ainsi la mobilité de la zone affectée.
Voir ci-dessous les thérapies alternatives possibles pour les claquages musculaires :
- Thérapie par le chaud et le froid : Cette thérapie vise à appliquer tous les avantages des deux températures opposées. Ainsi, le froid peut être appliqué pour augmenter le flux sanguin et aider les parois capillaires à mieux dilater les vaisseaux, et donc provoquer une inflammation dans la zone (il faut garder à l'esprit que le froid n'est pas recommandé pour les élongations musculaires, et que cette thérapie doit donc être bien contrôlée). La chaleur améliore l'élasticité et la flexibilité des tissus, réduisant ainsi les symptômes de la douleur grâce aux endorphines produites par le corps lui-même. Ce traitement ne doit pas dépasser 20 minutes et doit commencer et se terminer par les composants émettant de la chaleur.
- Thérapie de compression : Les vêtements compressifs peuvent être utilisés pour favoriser la circulation sanguine dans la zone blessée. Ils contribuent également à réduire la quantité d'acide lactique dans le muscle, ce qui améliore la sensation de bien-être et diminue la fatigue. En fonction de la zone où se produit la déchirure musculaire, il convient d'utiliser l'un ou l'autre élément pour aider à exercer une pression sur les parois capillaires sans serrer trop fort ou laisser la zone libre.
- La massothérapie : Le traitement basé sur des rotations, des mouvements légers et des glissements permet d'améliorer la circulation sanguine dans le muscle tendu. En outre, il permet aux fibres appartenant au tissu lésé de reprendre leur position normale. Cela permet non seulement de diminuer la sensation de douleur et d'améliorer l'ouverture musculaire, mais aussi de donner au patient un équilibre mental qui lui permet de mieux faire face à son mal, ce qui l'aidera à obtenir de meilleurs résultats en combinant cette thérapie avec du repos et un régime alimentaire sain.
- Thérapie par acupression : L'objectif de cette médecine chinoise est de provoquer un relâchement musculaire en appuyant sur des points stratégiques du corps à l'aide de la paume et des doigts de la main. Cela détend la structure musculaire grâce au contrôle et à l'harmonie mentale que le patient obtient, ce qui génère une diminution de l'inflammation grâce à l'irrigation du flux sanguin dans la zone affectée.
- Thermothérapie : Comme pour la thérapie par le chaud et le froid, l'objectif de la thermothérapie est d'utiliser différentes techniques pour produire de la chaleur dans les muscles contracturés. Cet objectif peut être atteint par une chaleur superficielle ou profonde, pour laquelle on peut utiliser, entre autres, des bouillottes, des couvertures électriques, des ultrasons, l'électrothérapie et la thérapie au laser. Il convient de rappeler que, pour bénéficier des avantages de cette thérapie, il est nécessaire de consulter un médecin afin d'éviter de futures blessures. Les séances ne doivent pas dépasser 20 minutes.
- Remèdes naturels à base de plantes : Il est possible d'utiliser des plantes comme remède naturel pour combattre les symptômes de la tension musculaire. Cependant, il est important de rappeler qu'un médecin doit être consulté avant d'utiliser ce traitement afin d'éviter les complications gastriques, hépatiques et épidermiques. En fonction de la zone lésée, différentes techniques peuvent être utilisées ; par exemple, le maniluvium et les bains de pieds peuvent être appliqués, tandis que dans d'autres cas, il est nécessaire d'ingérer des infusions de ces plantes médicinales. Parmi les plus courantes, on trouve le tilleul, la camomille, les agrumes, la menthe et le romarin. N'oubliez pas que la température de l'eau des bains ne doit pas dépasser 38 °C.
- Une bonne hygiène de vie : Il ne sert à rien de corriger un claquage si le patient ne prend pas en compte différents critères dans sa vie qui l'aideront à éviter de futures contractions musculaires. C'est pourquoi la rééducation de la personne souffrant d'une élongation musculaire est essentielle. Il s'agit de corriger la posture à chaque action quotidienne ou sportive, l'alimentation et la maîtrise du corps. En outre, il est important d'éviter la sédentarité et le surpoids.
Compléments nutritionnels
Les complémentsnutritionnels aident à renforcer le régime alimentaire du patient, ce qui permet à l'organisme d'obtenir davantage de nutriments pour aider à réduire les symptômes de la maladie et favoriser une rémission plus rapide.
Il est possible de trouver des produits de compléments alimentaires vendus sous forme de sirops, de liquides, de poudres et de comprimés. Ils comprennent souvent du magnésium, du potassium, du sodium, des vitamines B1 et B3, de la vitamine D, de la vitamine E et du calcium.
Traitements de physiothérapie
Ce traitement dirigé par un physiothérapeute consiste à exercer le muscle en distension au moyen de différentes techniques qui contribuent à améliorer l'état du tissu. Il s'agit de séances courtes ou prolongées, où l'on cherche à obtenir les bienfaits de la chaleur et du massage.
Par conséquent, différentes variables sont utilisées en physiothérapie pour un même patient, selon les critères du professionnel. Les thérapies peuvent être appliquées à l'aide d'ultrasons, de lumières, de massages et même d'exercices sous l'eau. Il ne faut pas oublier qu'un médecin doit être consulté avant de commencer ce traitement.
Les médicaments
Lathérapie pharmacologique doit être conseillée par un médecin spécialisé et ne doit jamais faire l'objet d'une automédication, car elle peut entraîner de graves complications rénales, hépatiques et gastro-intestinales. En outre, elle peut entraîner des complications dans les symptômes de la tension musculaire.
Parmi les médicaments les plus fréquemment prescrits figurent les anti-inflammatoires, tels que le diclofénac et l'ibuprofène, pour réduire l'enflure dans la région. Mais il est également possible de trouver des analgésiques opioïdes et, dans les cas plus graves, des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Chez les patients souffrant de crises d'épilepsie et de contractions musculaires dans le dos, des anticonvulsivants tels que l'acide valproïque sont prescrits.
Comment éliminer ou soulager la douleur due à une élongation musculaire ?
Il existe de nombreuses façons de supprimer les claquages musculaires ou, du moins, d'en améliorer les symptômes et d'accélérer le retour à la normale.
Jetez un coup d'œil :
Le repos
Le repos est une mesure essentielle à prendre en cas de claquage. C'est la zone affectée qui doit être mise au repos. Le patient doit donc éviter d'effectuer les tâches qui ont conduit à cette situation. D'autre part, il est possible d'appliquer une thérapie par compression pour immobiliser l'articulation dans la zone où le claquage s'est produit.
Au moindre symptôme, consultez un professionnel de la santé
Le physiothérapeute travaillera avec vous pour vous permettre de reprendre une activité normale le plus rapidement possible afin que vous puissiez effectuer vos tâches le mieux possible. En plus de vous donner de nombreux conseils mentionnés dans ce billet, il appliquera des massages, de la thermothérapie, des aiguilles sèches, de la magnétothérapie et effectuera des étirements spécifiques pour réduire la douleur et l'inflammation.
Étirements
En fonction de la zone affectée, vous pouvez faire une série d'étirements à la maison. L'important est de consulter un professionnel pour être sûr de choisir les bonnes méthodes. En outre, vous devez étirer vos muscles chaque fois que vous pratiquez une activité physique. Cela permet de remettre le tissu dans sa position normale et d'éliminer les substances toxiques qui peuvent rester dans les fibres.
Utiliser des traitements à la chaleur sèche
Les packs de chaleur à base de graines sont l'alternative la plus efficace dans cette situation. En effet, ces graines de blé, de riz ou de noyaux de cerises emmagasinent naturellement la chaleur pendant longtemps. Cela permet d'activer la circulation sanguine de manière non agressive.
En outre, cette thérapie permet de rendre la texture et l'ergonomie du sac apaisantes pour la zone concernée. Bien sûr, nous avons les options typiques de la résistance ou de la couverture électrique, de la bouteille d'eau et autres, mais comme nous le recommandons dans notre blog, il est toujours préférable d'opter pour l'option la plus naturelle.
Tremper la zone affectée dans l'eau
Lesdouches à l'eau chaude sont également très appropriées. La douleur diminue et le muscle se détend. Les bains au gros sel ou au vinaigre sont également très relaxants. N'oubliez pas que vous pouvez également utiliser des plantes ou des herbes apaisantes que vous pouvez mettre dans des bains de pieds et des pédiluves, qui auront une action rafraîchissante et analgésique sur la structure musculaire.
Hygiène posturale
Les raideurs dues à une mauvaise posture sont très fréquentes. C'est pourquoi il faut commencer le plus tôt possible, non seulement à titre curatif mais aussi à titre préventif, à maintenir une hygiène posturale correcte.
Il s'agit notamment de ne pas passer trop d'heures dans la même position. Faites une pause de 10 minutes toutes les deux heures pour aller marcher, monter des escaliers ou faire des flexions et des rotations articulaires.
Découvrez quelles sont les bonnes postures à adopter en permanence :
La position assise : Placez votre dos droit, en suivant la forme naturelle de votre colonne vertébrale. Adossez-vous confortablement au dossier du siège, en vous plaçant à l'arrière de celui-ci. Vos genoux doivent former des angles proches de 90 degrés, vos mollets étant perpendiculaires au sol et vos cuisses parallèles. Utilisez les accoudoirs de manière à ne pas les forcer sur la table, le siège ou l'endroit où vous les placez. Essayez de regarder droit devant vous, en ajustant la hauteur de ce que vous regardez. Lorsque vous devez vous tourner, faites-le en tournant tout votre corps. Ne tendez pas les jambes pour atteindre des objets.
Position debout : Essayez de toujours garder un pied au-dessus de l'autre, par exemple en le plaçant sur une petite marche. Vous éviterez ainsi que vos jambes ne soient complètement à la verticale. Changez de jambe. Ajustez la hauteur de ce qui se trouve devant vous de manière à pouvoir le manipuler en gardant le dos droit, sans avoir à vous pencher. Ne portez pas de talons hauts et ne cherchez pas de solutions orthopédiques.
Position de sommeil : Essayez de changer de position de sommeil pendant la nuit, surtout si vous ne pouvez pas éviter de vous endormir dans les positions les plus inappropriées. Ne dormez pas complètement debout. Utilisez un oreiller haut pour votre cou et votre tête et un oreiller bas à placer à la hauteur de vos genoux, afin que votre corps ne soit pas rigide, mais dessine ses courbes douces naturelles. Cela favorisera également la circulation sanguine.
Choisissez des oreillers de qualité qui s'adaptent à la forme de votre tête et de votre cou et ne conditionnent donc pas la posture de vos muscles. Évitez de vous "recroqueviller" sur vous-même en courbant la colonne vertébrale. Vous pouvez parfaitement adopter une position fœtale, mais en levant les jambes et en pliant les genoux et non en abaissant le dos vers eux. Même si l'idéal n'est pas de dormir sur le côté, si vous ne pouvez pas éviter de tomber sur le côté, il est plus sain de le faire partiellement.
Position lors du déplacement d'un objet lourd : Essayez d'utiliser un chariot ou d'autres solutions qui allègent le poids que vous devez tenir. Ramassez les pièces au sol en pliant les genoux et en vous accroupissant sans courber le dos, en travaillant avec les jambes. Ne soulevez jamais un poids au-dessus des coudes. Gardez la charge près du corps.
Faire du sport
L'activité physique n'est pas seulement préventive, elle fait aussi partie d'un traitement réparateur, d'un retour à la normale, une fois passées les heures de douleur maximale. Le Pilates et la natation sont en tête de liste car ils sont les plus complets et pas du tout agressifs.
Tous les sports conviennent à la récupération (avec des exceptions comme la boxe, par exemple). L'important est de toujours garder une bonne posture, de ne pas se surmener et de réduire l'impact au maximum. Bien entendu, avant toute activité physique, il est nécessaire de s'échauffer en général et spécifiquement pour le groupe musculaire à travailler.
Une alimentation équilibrée
Bien qu'une bonne alimentation ne fasse pas disparaître les contractions musculaires comme par magie, elle aura certainement une influence, en renforçant le traitement que vous mettez en œuvre. Il ne s'agit donc pas d'une solution efficace à 100 %, mais d'un complément et, oui, d'un excellent moyen de prévention.
Veuillez noter ce qui suit :
- Prenez la quantité de calories nécessaire en fonction de votre activité physique et de votre mode de vie. Ne mangez jamais trop ou pas assez, c'est tout aussi préjudiciable à votre santé. Pour ce faire, vous devez connaître votre bilan énergétique et, sur cette base, calculer les calories nécessaires au fonctionnement optimal de votre organisme.
- Incluez dans vos menus des nutriments de tous les groupes, en suivant les principes de la pyramide nutritionnelle et en incluant plusieurs portions de fruits, de légumes et de verdure, quelques portions de glucides à absorption rapide et quelques portions de glucides à absorption lente, de la viande et du poisson, des produits laitiers, des huiles saines pour une consommation occasionnelle, des saucisses et des viandes grasses et, enfin, à titre d'exception, des aliments industriels, des plats préparés, des sucreries...
- Concevez un menu qui inclut la plus grande variété possible de nutriments tout au long de la journée. De cette manière, vous n'aurez jamais de carences.
- Prenez les repas les plus lourds dans les premières heures suivant le réveil, avec des petits déjeuners et des déjeuners abondants et des collations et des dîners modérés.
- Si nécessaire et jusqu'à ce que votre corps reçoive et stocke la bonne quantité de nutriments essentiels, vous pouvez prendre des suppléments de vitamines et de minéraux.
- Le potassium est particulièrement important en cas de raideur. Profitez des aliments qui contiennent le plus de potassium (bette à carde, banane, pomme de terre, pomme de terre, chou de Bruxelles, avocat, ciboulette et épinards) lorsque vous êtes blessé.
- Il en va de même pour le magnésium. Consommez des légumes contenant de la chlorophylle, du riz et du pain complet, des graines cuites et non salées, des épinards, des amandes, du chocolat noir, des légumes secs (lentilles, pois chiches et haricots notamment), du quinoa et de l'avoine.
Remèdes naturels
Vous pouvez choisir une ou plusieurs options de cette liste pour combattre les symptômes d'une souche :
- Les plantes. Les plantes telles que la griffe du diable ou la valériane détendent la région. La première apaise la douleur et la seconde prévient les spasmes.
- Les pommades. Les pommades à base d'argile rouge et de romarin bouilli, avec de l'eau, sont très bénéfiques si elles sont maintenues sur la zone pendant au moins une demi-heure, bien qu'elles ne conviennent que si vous n'avez pas de blessures.
- Huiles. Des frictions douces avec des huiles telles que l'hypericum ou l'huile d'amande sont très bénéfiques. Toutefois, elles doivent être effectuées sans force excessive, sous peine d'aggraver la situation.
F.A.Q : Questions fréquemment posées
Vous trouverez ci-dessous la liste des questions fréquemment posées sur les muscles froissés :
Références
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